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le dernier héros

Lorsque les flots sombres des eaux glaciales de l’Atlantique envahissaient lentement mais de manière persistante et inexorable les ponts du paquebot luxueux, un homme nommé John Harper secourait de toutes ses forces les autres passagers en détresse en les aidant à regagner les canots de sauvetage. Il criait : « Laissez les femmes et les enfants monter dans les chaloupes !» Peu après, il enlevait son propre gilet de sauvetage – sa seule chance de survie – et le remit à un homme inconnu …

Titanic – l’insubmersible

Peu après la mise à l’eau de ce géant des océans, le 31 mai 1911, un employé de la compagnie maritime fanfaronnait : « Dieu lui-même n’arriverait pas à couler ce paquebot. » Quel culot ! Le Titanic est un symbole de l’attitude hautaine et inconsciente de la société d’alors.

Les prouesses de John Harper

Pourquoi John Harper a-t-il cédé spontanément son gilet de sauvetage durant cette nuit de terreur et d’épouvante ? Pourquoi s’est-il ainsi livré à une mort certaine ? Cet homme de 40 ans savait que notre vie n’est pas définitivement effacée par la mort. Dans sa jeunesse, il avait réalisé la valeur d’une relation et d’une paix profondes avec son Dieu. Il avait reçu cette sécurité et cette confiance intérieure grâce à un message puissant de la Bible : « Oui, Dieu a tant aimé les hommes qu’il a donné son Fils, son unique, pour qu’aucun de ceux qui se confi ent en Lui ne soit perdu, mais que chacun puisse accéder à la vie éternelle » (Jean 3,16).

La réalité inévitable

Après le naufrage du Titanic, on suspendit deux grands tableaux à l’entrée du « White Star Line » à Liverpool. Sur l’un d’eux, on pouvait lire en lettres majuscules « CONFIRMÉ COMME SURVIVANT » et sur l’autre « CONFIRMÉ COMME PERDU ».

Au départ, le Titanic offrait trois classes de passagers. Pourtant, il n’en restait maintenant plus que deux : les « survivants » et les « perdus » qui s’étaient noyés dans l’Océan.

James Cameron, le célèbre réalisateur du film « Titanic » s’exprime ainsi : « Ce qui s’est passé à bord du Titanic reflète la tendance humaine à se voiler la face et nier la réalité. Ils disaient : ‘ce paquebot ne peut pas sombrer’. En fait, ils prétendaient : ‘nous n’allons jamais mourir’. Le Titanic est donc une métaphore qui reflète l’inéluctabilité de la mort. Nous sommes tous à bord du Titanic, même sans le savoir. »

Le Titanic et l’inéluctabilité de la mort

Hier lohnt sich ein Vergleich:

La vie sur le Titanic Notre vie au 21e siècle
En route pour le bonheur et la richesse dans le « Nouveau monde » La recherche de jouissance et de croissance est presque illimitée
Divertissement, plaisirs Action, Wellness, Events
Ignorance totale et délibérée des avertissements d’icebergs La pensée en relation avec la fin de la vie et la mort est ignorée
Sirènes et signaux de détresse ignorés Ceux qui avertissent sont considérés comme des pessimistes irréalistes
Beaucoup de places dans les canots de sauvetage sont restées vides L’offre de salut de Dieu contenue dans la Bible n’attire que peu d‘attention
Le télescope n’était pas à disposition – il ne semblait pas indispensable ! Les propos de la Bible quant à l’existence après la mort ne sont pas pris au sérieux
Plus de 1500 personnes meurent « inutilement » Dieu veut offrir la vie éternelle à chaque être humain

Une navigation sûre

En réalité, nous le savons tous : le bateau de notre vie doit également faire face à des dangers. Les écueils nous menacent. En plus, nous avons accumulé beaucoup de choses mauvaises durant notre vie et nous nous sommes rendus coupables. La Bible nous démontre de manière évidente que cette culpabilité nous sépare de Dieu. Par conséquent, notre existence après la mort se passera dans l’abîme, dans un éloignement éternel d’avec Dieu.

Le sauvetage est possible ! Tout d’abord, je dois reconnaître qu’il m’est impossible de me sauver moi-même. Je dois envoyer des « signaux SOS » à Dieu. Le « canot de sauvetage Jésus-Christ » est déjà prêt à nous accueillir. Jésus, le Fils de Dieu, est mort à notre place sur la croix, puis il est ressuscité. Si nous le prions de tout notre cœur en reconnaissant notre culpabilité et en l’acceptant comme sauveur et capitaine de notre vie, nous prenons pour ainsi dire place dans la chaloupe de Dieu.

L’appel de l’Evangile s’adresse à vous : (Actes 16,31). Quittez donc au plus vite le « paquebot de la mort » et confiez votre vie entière à Jésus-Christ. Il voit chaque « iceberg » qui menace votre vie et il vous conduira sûrement au port « éternel ».

Peter Kunz